Maconnaise
Salut les motards,
Une bonne trentaine de motardes et de motards étaient réunis pour cette édition 2018 de la Mâconnaise
A nous les sentiers de bocages et les belles culardes et je parle bien de la race bovine, on se calme.
La météo nous avait prédit un ciel impeccable grâce aux satellites qui scrutent le ciel et c’est sous une fine pluie que tout le monde s’élance. Merci le progrès.
Mais peu importe et au contraire, c’est ce qui a donné tout le sel à cette journée. Chemins boueux à souhait, gué gorgés d’eau, et bourbiers assurent le spectacle. Patinage, travers, gamelles et enlisements.
Coté bourbier d’ailleurs, notre président, toujours prêt à montrer l’exemple ou en quête de soins de boue pour les rhumatismes a inauguré une nouvelle figure. Gazzz et……..planté complet jusqu’à la selle.
Alors là il faut quand même que je vous raconte. On aurait dit la DDE mais façon haut de gamme. Une moto plantée. Deux spécialistes niveau ingénieur venu spécialement de Suisse prodiguant moult conseils avisés, Un fermeur enlisé jusqu’aux genoux, un deuxième écarlate au bord de la crise cardiaque avant qu’en définitive ce ne soient les vertèbres qui cèdent, un troisième, votre serviteur depuis longtemps déjà dans le rouge et un quatrième sans doute plus malin qui a décrété depuis le début qu’il avait déjà mal au dos et qui nous soutiendra moralement par sa bonne humeur et sa mauvaise fois évidente. Résultat, plus d’une heure à nous tous pour libérer la bête.
Puis les chemins et les beaux paysages s’enchaînent, alternance roulante et plus technique jusqu’au repas. Endroit où nous attend discrètement notre amis Renato pour faire ripaille. Trop discret l’ami puisque deux participant passent devant sans s’arrêter, trop doucement peut être, dans tous les cas sans même réaliser leur erreur. Ils mangeront mieux ce soir ceux-là.
L’après-midi sera plus calme, y compris coté météo, enfin façon de parler puisque c’est la fête au village, buvette, confettis et déguisement. Le soir tout le monde se retrouve chez un sympathique aubergiste devant une monstrueuses entrecôte, on est dans le pays quand même, avant de finir au bal pour les plus courageux.
A nous les sentiers de bocages et les belles culardes et je parle bien de la race bovine, on se calme.
La météo nous avait prédit un ciel impeccable grâce aux satellites qui scrutent le ciel et c’est sous une fine pluie que tout le monde s’élance. Merci le progrès.
Mais peu importe et au contraire, c’est ce qui a donné tout le sel à cette journée. Chemins boueux à souhait, gué gorgés d’eau, et bourbiers assurent le spectacle. Patinage, travers, gamelles et enlisements.
Coté bourbier d’ailleurs, notre président, toujours prêt à montrer l’exemple ou en quête de soins de boue pour les rhumatismes a inauguré une nouvelle figure. Gazzz et……..planté complet jusqu’à la selle.
Alors là il faut quand même que je vous raconte. On aurait dit la DDE mais façon haut de gamme. Une moto plantée. Deux spécialistes niveau ingénieur venu spécialement de Suisse prodiguant moult conseils avisés, Un fermeur enlisé jusqu’aux genoux, un deuxième écarlate au bord de la crise cardiaque avant qu’en définitive ce ne soient les vertèbres qui cèdent, un troisième, votre serviteur depuis longtemps déjà dans le rouge et un quatrième sans doute plus malin qui a décrété depuis le début qu’il avait déjà mal au dos et qui nous soutiendra moralement par sa bonne humeur et sa mauvaise fois évidente. Résultat, plus d’une heure à nous tous pour libérer la bête.
Puis les chemins et les beaux paysages s’enchaînent, alternance roulante et plus technique jusqu’au repas. Endroit où nous attend discrètement notre amis Renato pour faire ripaille. Trop discret l’ami puisque deux participant passent devant sans s’arrêter, trop doucement peut être, dans tous les cas sans même réaliser leur erreur. Ils mangeront mieux ce soir ceux-là.
L’après-midi sera plus calme, y compris coté météo, enfin façon de parler puisque c’est la fête au village, buvette, confettis et déguisement. Le soir tout le monde se retrouve chez un sympathique aubergiste devant une monstrueuses entrecôte, on est dans le pays quand même, avant de finir au bal pour les plus courageux.
Jours deux, enfin le soleil, Satellites réparés ? Les rescapés s’élancent pour de nouvelles aventures. Tout le monde ou presque, puisqu’une freeride peut être pas assez câlinée la veille par sa maîtresse décide de déclarer forfait.
Cette fois-ci les chemins bien que toujours glissants sont plus roulants et les paysages s’ouvrent devant nous. Très glissant quand même, puisqu’une jeune participante y laissera une cuisse. Retour gîte pour elle. Seuls quelques bourbiers subsistent et notre président, toujours lui, décide de vérifier sa théorie de la veille, vous vous souvenez ? Gazzz et…..planté à moins que ce soit toujours ces foutus rhumatismes. L’intervention sera cette fois-ci plus rapide, certains avaient prévu la sangle !
Repas sur une plateforme herbeuse, vue magnifique avec en point de mire la roche de Solutré rendue célèbre par un pèlerinage d’un autre siècle. Nos deux étourdis de la veille sont bien là cette fois-ci, ils ont dû s’arrêter chaque fois qu’un véhicule stationnait au bord du chemin pour être sûrs. Un grand escogriffe sympathique avec un drôle d’accent arrive l’air hagard et déclare « Je suis cassé mais casssssé ou bien » mais quand même avec le sourire.
L’après-midi n’est plus qu’une formalité pour la majorité, tellement les chemins sont variés et permettent de jouer sans danger. Seul un jeune fougueux perforera son carter sur une figure certainement issue du Bmx, mais papa Jeff est là pour reboucher. Pas de bol, le morceau est resté dedans résulta boite bloquée et retour remorque.
Au final, d’une façon ou d’une autre tout le monde ralliera l’arrivée. Vous l’aurez compris, on a bien roulé, on a bien rigolé, on a bien charrié, on a bien aimé. Vive la Mâconnaise.
Yvess.